11e Congrès Scientifique Annuel du PRDTC – Pleins feux sur le co-président: Dr. Jonathan Choy
Alors que le Programme de Recherche en don et Transplantation du Canada (PRDTC) s’apprête à tenir son 11e Congrès scientifique annuel, nous mettons en lumière l’un de ses coprésidents, le Dr. Jonathan Choy. Dr. Jonathan Choy est professeur de biologie moléculaire et de biochimie à l’Université Simon Fraser. Il est un atout précieux pour le PRDTC et occupe actuellement le poste de co-directeur du thème 4 : Un système immunitaire adapté à chaque patient. Joignez-vous à nous pour faire connaissance avec le Dr Jonathan Choy et en savoir plus sur ce qu’il attend avec impatience en tant que coprésident de ce congrès scientifique très attendu de cette année!
Parlez-nous de vous et de votre recherche.
Le laboratoire du Dr Choy à l’université Simon Fraser étudie les principes fondamentaux immunologiques de l’activation immunitaire en relation avec la rejet des greffes d’organes. En utilisant des modèles animaux de rejet vasculaire, les études actuelles sont axées sur la compréhension des effets des réponses inflammatoires et des expositions microbiennes précoces sur le processus de rejet, et sur la manière dont ces événements peuvent être modifiés à des fins thérapeutiques.
Qu’appréciez-vous le plus au PRDTC?
Le PRDTC est un formidable réseau national qui réunit des chercheurs en transplantation autour d’un objectif commun : aider les patients, les familles et les donneurs (PFD). La diversité, l’ampleur et la connexion avec les partenaires PFD au sein de la communauté constituent définitivement des atouts solides qui fournissent une base solide pour la recherche de ses membres. Le personnel est dévoué à la réussite du réseau, ce qui constitue un atout majeur pour la communauté de recherche.
Qu’espérez-vous réaliser en tant que coprésidente du 10e Congrès scientifique annuel du PRDTC ?
Espérons que la réunion servira de carrefour pour les chercheurs et les partenaires du PFD afin de créer des liens qui leur permettront de mener des recherches qui ne seraient autrement pas possibles. Elle sera également, espérons-le, un lieu pour augmenter l’engagement de tous les membres de la communauté et contribuer à élargir le réseau professionnel des stagiaires et des chercheurs débutants, ce qui sera essentiel pour la communauté canadienne dans les années à venir.